La main d’oeuvre invisible

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Cette galerie contient 10 photos.

SOUTH ITALY – THE INVISIBLE WORKFORCE In the agricultural zones of southern Italy, undocumented migrants move from one region to another, following the harvests in search of work. In August and September, the fields are dotted with tomato pickers. Segregated … Lire la suite

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Socle commun d’ECVC « Travailleurs saisonniers, migrations et agriculture »

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  Socle commun de la Coordination européenne Via Campesina (ECVC) Nous considérons que l’emploi agricole et rural en Europe et dans le monde doit être une priorité des politiques agricoles. La politique européenne agricole actuelle, liée aux intérêts de l’OMC … Lire la suite

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Travailleuses et propres !

Résumé :

A Huelva en Andalousie la récolte des fraises est en partie assurée par de nombreuses migrantes marocaines. Par le biais d’accords passés entre l’Espagne et le Maroc  des travailleuses sont sélectionnées et amenées dans le Sud de l’Espagne pour les récoltes. Elles sont toutes mères de familles car jugées plus dociles que les hommes et plus à même de rentrer au Maroc, une fois la saison finie, que celles qui n’auraient pas d’enfants. Elles viennent donc sans leurs familles et sont logées en groupe dans des conditions souvent opaques. Pour l’Etat Marocain ce type d’initiative permettrai de générer des revenus à l’étranger tout en luttant contre l’immigration clandestine.

En 2008 un groupe de femmes Sénégalaises, embauchées via  le même types d’accords, on fuit les plantations et leurs « leurres, déceptions et humiliations ». 

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Les villages invisibles des saisonniers

Article par Christina Brovia, paru dans le Campagne Solidaire n°228, avril 2008.

La coopérative sociale Oasi 2 de Trani sillonne les campagnes du Nord des Pouilles à la rencontre des saisonniers agricoles dans leurs lieux de vie, dans le cadre d’un projet appelé « les villes invisibles ».

Résumé :

L’illégalité est la règle dans cette région très contrôlée par la Mafia. Des villages entiers se sont transformés en lieux de vie, précaires et insalubres,  pour les travailleurs saisonniers migrants. Ils sont soumis à l’autorité violente de « caporaux », intermédiaires mafieux entre travailleurs et employeurs. 

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Exploitation intensive

Résumé :

Les études menées par Sam Scott révèlent de nombreuses pratiques d’exploitations qui, dans les cas les plus extrêmes, relèvent du travail forcé. Elles s’expliquent à la fois par l’activité de réseaux criminels qui se sont spécialisés dans l’exploitation par le travail mais aussi par les pressions sur les prix agricoles inhérentes au système agro-alimentaire. Ces pressions amènent les exploitants agricoles à chercher une main d’œuvre la moins couteuse possible. La présence massive de migrants parmi les travailleurs agricoles exploités s’explique par leurs difficultés d’accès aux droits et, dans le même ordre d’idée, le fait qu’ils acceptent beaucoup plus facilement que les travailleurs locaux des conditions de travail très mauvaises. La Gangmaster Licensing Authority est une agence d’état qui attribue des licences aux agences de recrutement des secteurs agricoles et agro-alimentaires. Mais il n’existe pas de système de soutien au éventuels travailleurs migrants qui voudraient se plaindre vis-à-vis de leurs employeurs, ni de contrôles suffisant des lieux de travail. Malgré l’outil que constitue le GLA il règne un climat de peur dans le secteur qui empêche toute évolution significative.

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“Ni vu, ni connu, je t’empoisonne”

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Résumé : Le recours à des contrats type « OMI » a permis d’externaliser le risque sanitaire : les travailleurs doivent quitter la France à chaque fin de contrat et ne bénéficient pas d’un suivi médical opérant. Donc il semble que les maladies professionnelles … Lire la suite

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La noria des saisonniers agricoles

Yohanne Lamoulère, photographe, et Patrick Herman, paysan et journaliste, publient ce mois-ci aux éditions Khiasma « La Roue-D’une rive à l’autre : la noria des saisonniers agricoles ». L’occasion de revenir sur les formes modernes d’esclavage pratiquées dans les champs d’Europe.

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