Revue Agriculture industrielle et servitude en Europe

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Le constat des évolutions des flux migratoires des personnes travaillant en agriculture, la multiplication des atteintes aux droits de ces personnes dans les bassins de production où elles se retrouvent parfois par dizaines de milliers et l’émergence de mobilisations de … Lire la suite

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En France, des roumains à l’abattoir

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Résumé : L’abattoir de Cooperl fait appel à la société d’intérim Roumaine ArcForce. Treize de ses salariés ont été interpelés en 2011 et pour certains, renvoyés en Roumanie. Cooperl ne semble pas exercer de regard sur les conditions de rémunération … Lire la suite

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Exploités mais résignés : rencontres de paysans et travailleurs saisonniers moldaves

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27 février 2011 par Sylvie. Résumé : durant sa mission Sylvie est allée à la rencontre de paysans et ouvriers agricoles de la Moldavie roumaine pour faire mieux connaître la Via Campesina et la Confédération Paysanne. Les travailleurs qui émigrent pour … Lire la suite

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Les villages invisibles des saisonniers

Article par Christina Brovia, paru dans le Campagne Solidaire n°228, avril 2008.

La coopérative sociale Oasi 2 de Trani sillonne les campagnes du Nord des Pouilles à la rencontre des saisonniers agricoles dans leurs lieux de vie, dans le cadre d’un projet appelé « les villes invisibles ».

Résumé :

L’illégalité est la règle dans cette région très contrôlée par la Mafia. Des villages entiers se sont transformés en lieux de vie, précaires et insalubres,  pour les travailleurs saisonniers migrants. Ils sont soumis à l’autorité violente de « caporaux », intermédiaires mafieux entre travailleurs et employeurs. 

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En Andalousie, on importe des femmes pour exporter des fraises

Le système de Contrats d’Origine permet aux agriculteurs de la région de la Huelva en Andalousie de faire venir des milliers de travailleurs Marocains, Roumains, Bulgares et Polonais pour la récolte des fraises chaque année. Les employeurs préfèrent les femmes (plus « dociles ») et mères de famille pour garantir un retour au pays une fois la saison achevée. Ce système connais de nombreux abus (heures non payées, hébergements insalubres) et permet de compresser les frais en main d’œuvre mais capte pourtant des fonds Européen pour la lutte contre le racisme et la xénophobie (projets « Equal Area » ou « Aeneas Cartaya »).

Télécharger (PDF, 4.73MB,200801_Espagne_EmmanuelleHellio_EnAndalousieOnImporteDesFemmesPourExporterDesFraises.pdf)

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Maroc – France : les chemins de la servitude

Sous la pression de la misère de leur pays, des Marocains viennent en France, acceptant des conditions de travail et de vie désastreuses. Et ce, avec l’acquiescement d’institutions laxistes, à la botte de certains exploitants agricoles.

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